Ça semble incroyable, et pourtant...

Une poignée de ce mystérieux mélange

bonifie N'IMPORTE QUEL sol...

Voici comment recréer cet élixir de fertilité chez vous,
pour VOTRE potager d’abondance

Si vous voulez…

• prendre soin de votre jardin,
• faire des économies,
• cheminer vers l’autonomie et récolter en abondance,
• réduire le volume de votre poubelle ménagère, et re-valoriser vos « déchets »
• ENFIN réussir votre compost et l’accélérer naturellement, pour booster vos plantations et vos récoltes, sans plus attendre,

Si vous en avez assez…

• Des récoltes maigrichonnes et décevantes,
• Des semis faiblards, qui fanent 2 jours après la plantation, sans crier gare…
• De voir vos massifs de fleurs ornementaux ou vos plantes d’intérieur se flétrir à la vitesse grand V…
• De vous épuiser à cultiver un sol « ingrat », où rien ne semble vouloir pousser…
• D’avoir un compost qui sent le pourri, envahi de mouches, qui reste étrangement froid et qui ne se décompose pas… Bref, vous vous sentez dans l’impasse avec votre compost qui n’en est pas vraiment un ! Et vous êtes à deux doigts de jeter l’éponge…

Alors, lisez d’urgence ce qui suit !

Vous découvrirez :

• L’ingrédient indispensable des jardins naturellement resplendissants et abondants (testé et approuvé par vos ancêtres)…
• Ma méthode pour le produire gratuitement, facilement et rapidement chez vous (avec 1 SEUL outil, et garanti sans lumbago)
• Même si vous n’avez PAS de jardin, et quel que soit votre climat ou votre type de sol
• Ma meilleure méthode 100% naturelle pour prendre soin de votre jardin tout au long de l’année

Des sols qui s’auto-renouvellent depuis -800 avant notre ère !

Chère lectrice, cher lecteur,

Nous sommes en Amazonie, vers l’an 1541. Le frère dominicain Gaspar de Carvajal est l’un des premiers Européens à explorer l’Amazonie.

À son retour dans la péninsule Ibérique, il décrit des villes immenses situées au bord de l’Amazone. Les dizaines de milliers d’habitants qui y vivent  n’y connaissent pas la faim car leurs récoltes sont exceptionnellement abondantes. [23]

Mais les scientifiques de l’époque lui rient au nez :

« Nourrir des villes avec une terre aussi pauvre et argileuse ?! Impossible ! »

(et si vous avez, vous aussi, un terrain « ingrat », vous savez que leurs objections étaient tout à fait valables. Mais lisez bien la suite…)

Pourtant, Gaspar de Carvajal ne ment pas : les Amérindiens jouissent d’un sol incroyablement productif dont l’origine est des plus mystérieuses.

En raison de sa couleur, on lui donne le nom de Terra Preta, qui signifie terre noire en portugais.

Sa fertilité exceptionnelle vient alimenter le mythe de l’Eldorado et de son abondance éternelle.

Par la suite, des générations de chercheurs s’aventurent en Amazonie pour percer les mystères de la Terra Preta.

On découvre d’abord qu’il s’agit d’un anthroposol,  un sol créé par l’homme, dont les origines remontent à 800 avant notre ère. 

Mais, plus étonnant encore, ce savant mélange est devenu autonome : aujourd’hui encore, il est capable de se renouveler à raison d’un centimètre par an !

Jusqu’à 50% de rendements supplémentaires sans engrais [23]

Aujourd'hui encore les Colombiens profitent des propriétés exceptionnelles de la Terra Preta fabriquée par leurs ancêtres (et lisez bien la suite : car vous aussi, vous pouvez retrouver le sol fertile de vos grands-parents).

Les capacités de ce sol repoussent les frontières de l’impossible :

➔ Elle permet jusqu’à 3 récoltes par an pour les arbres fruitiers.

➔ Elle est capable d’alimenter des cultures pendant 40 années consécutives SANS mise en jachère et SANS apports extérieurs.

➔ Elle permet des rendements jusqu’à 50% supérieurs à ceux obtenus sur la terre argileuse naturelle sans engrais…

➔ … Et avec de l’engrais, les rendements sont jusqu’à 800% supérieurs à ceux du sol d’origine !! [23]

Même en saturant les sols de fertilisants et d’engrais chimiques,  l’industrie agroalimentaire est incapable de reproduire un tel exploit ! 

Et la civilisation précolombienne n’a pas eu besoin de cette « avancée  » chimique pour créer une véritable « potion magique de fertilité ».

Elle a simplement utilisé les moyens du bord. La Terra Preta est un mélange complexe fait à partir de :

• charbon de bois
• restes de poterie (ou autres matériaux poreux)
• cendre (riche en phosphore et potassium)
• matière organique d’origine animale (on a notamment retrouvé des traces de fumier humain et des ossements d’animaux)
• résidus de récoltes compostés

Même les scientifiques du XXIe siècle ne parviennent pas à élucider le mystère qui fait de ce mélange un élixir de fertilité !

Les précolombiens n’ont pas seulement créé un sol extrêmement performant mais également durable.

Ses mérites lui valent même aujourd’hui d’être vendu à prix d’or dans le monde entier, avec la promesse d’une abondance presque magique [24].

Wahou… il m’en faut absolument chez moi !

C’est sans doute ce que vous vous dites, et je vous comprends.

La Terra Preta a de quoi dépasser les rêves les plus fous des jardiniers que nous sommes.

Mais gardez les pieds sur terre : acheter de la Terra Preta et l’utiliser chez vous serait une perte d’argent et de temps (sans compter le problème écologique de transporter cette terre sur des immenses paquebots depuis l’autre bout du globe).

 « Mais… Si cela marche si bien en Amazonie, pourquoi pas chez moi ? » 

La Terra Preta est utile pour un Français… uniquement s’il vit en Guyane !

Ou tout du moins, dans un milieu tropical similaire.

Car ce mélange répond à des besoins topographiques et biologiques spécifiques qui sont bien éloignés de ceux que nous rencontrons dans nos milieux tempérés.

Utilisée chez vous, elle donnera  des résultats bien moindres à ceux espérés et ne vous apportera que frustration  .

Comme toujours en permaculture, je vous conseille de ne pas copier le résultat mais plutôt le raisonnement (et en l’occurrence, le moyen de le faire est tout trouvé. Lisez bien ce qui suit…) .

C’est le seul moyen d’obtenir une solution qui soit adaptée à VOS besoins et donc à VOTRE sol.

 « Ok, donc concrètement, je fais quoi si je veux une terre fertile ? » 

Les Amérindiens sont parvenus à transformer durablement la structure de leur sol pauvre et argileux en lui apportant la matière organique qu’ils avaient à disposition.

Et voici pourquoi VOUS pouvez le faire aussi

Malheureusement, le savoir-faire des Amérindiens s’est perdu au fil du temps.

Mais on sait au moins une chose : la Terra Preta  imite la nature et reproduit la structure d’un sol naturel  .

Elle a été créée à partir de  matières organiques variées qui se sont décomposées pour créer un substrat riche en nutriments. 

Et si je vous en parle aujourd’hui, ce n’est pas par hasard.

C’est parce que vous aussi , vous pouvez reproduire l’exploit des Amérindiens chez vous, dans votre potager (mais AUSSI en appartement, avec une technique surprenante et révolutionnaire… vous verrez !) à l’aide d’un seul ingrédient.

Cet ingrédient, c’est le compost.

Inspiré par la nature, le compost est un humus créé et entretenu par le jardinier afin de nourrir son sol.

Comme la Terra Preta, le compost peut être fabriqué à partir de résidus de récoltes, de cendres et de matière d’origine animale.

Alors, bien sûr, je ne peux pas vous promettre des résultats comme ceux observés en Amazonie.

Mais grâce à cette méthode, vous pouvez espérer  des récoltes doublées, des plantes en bonne santé et un sol fertile pour longtemps. 

Le compost est la pierre angulaire d’un jardin permacole réussi … pour ceux qui en maîtrisent l’art !

Car on ne va pas se mentir, le compostage ne laisse pas la place au hasard, à l’amateurisme et aux mauvaises pratiques.

Le compost demande un minimum de réflexion et de connaissance.

Mais pour ceux qui parviennent à le faire eux-mêmes, le compost est une véritable panacée gratuite, permanente ET écologique.

Et si vous souhaitez que votre potager puisse vous nourrir, vous devez démarrer votre compost aussi vite que possible !

Sans compost, vous allez vous retrouver avec un sol-ciment complètement dénutri dans 5 ans…

L’image vous choquera peut-être, mais c’est vrai : si vous n’installez pas votre compost maintenant, il y a 80% de chances que vous vous retrouviez avec un sol-ciment ultra-dur et compact, complètement incultivable dans quelques saisons à peine…

Pourquoi ?

Votre sol est  le garde-manger du jardin… un peu comme le frigo de votre foyer ! 

A chaque fois que vous cultivez, vos plantes drainent un certain nombre de nutriments contenus dans le sol.

Et elles sont très gourmandes. Se mettre au régime ? Très peu pour elles (elles n’ont aucun mal à garder la ligne de toute façon   !)

Le problème, c’est que plus elles se nourrissent, plus leur garde-manger se vide.

Votre sol s’appauvrit , devient compact, sec, pénible à cultiver.

Il lui faudrait des mois de repos, voire des années à la suite d’une culture intensive, entre deux plantations.

Mais les jardiniers qui ont le terrain suffisant pour laisser une partie de leur potager en jachère aussi longtemps doivent se compter sur le doigt de la main !

Ce qui est sûr, c’est que je n’en fais pas partie ! Et vous ?

Je parie que, comme moi, presque chaque espace de votre potager doit être rentabilisé .

Or, dans cette situation, le sol n’a pas le temps de se régénérer naturellement entre deux plantations.

Il faut donc trouver le moyen de compenser nous-mêmes l’appétit de nos plantes, en aidant le sol à refaire le plein de nutriments !

C’est à cela que sert le compost : plus tôt vous le mettez en place, plus vous diminuez le risque d’atteindre le point de non-retour !

Bref, retarder l’installation de votre composteur d’encore quelques semaines, c’est déjà TROP, car c’est prendre le risque :

⌧ de ne pas entretenir la vie du sol, celle qui travaille à votre place ;

⌧ plus grave encore, d’appauvrir ses réserves en nutriments sur le long-terme ;

⌧ et donc, de retarder les récoltes abondantes dont vous rêvez.

⌧ Bref, de vous retrouver avec un sol-ciment, complètement mort (car sans activité biologique) dans les prochaines années.

 Alors qu’en appliquant ne serait-ce que 1% des conseils délivrés dans cette lettre… 

☑ Vous allez enclencher un réel cercle vertueux pour le sol, vos récoltes, le retour des vers de terre et la biodiversité

☑ Pour récolter comme jamais, et SANS en faire PLUS !

☑ Des fruits et des légumes ultra riches en nutriments, des plantes mieux nourries (SANS engrais ni cache-misères), car votre sol sera enfin vivant (et sur le long-terme) !

☑ Même si vous déménagez dans 5 ans, vous serez autonome et vous saurez comment restaurer, bonifier et fertiliser votre terre

☑ Pour créer un sol fertile, vivant… qu’il soit argileux, sableux, dur, sec ou compacté. C’est le plus bel héritage que vous puissiez léguer à vos proches, et à l’Humanité.

Je vais vous expliquer comment y parvenir chez vous dans un instant.

Mais d’abord, je dois vous expliquer POURQUOI il est si vital que vous installiez un compost dans votre jardin.

Pas dans 2 mois ou la semaine prochaine…

Mais bien dès MAINTENANT : sinon, vous prenez le risque d’ENCORE remettre à plus tard votre abondance…

C’est là, dès AUJOURD’HUI, qu’il faut vous lancer !

Tous les facteurs de votre réussite sont déjà réunis : il ne tient qu’à VOUS d’en bénéficier !

Compost « raté » ? Voici le véritable problème.

Il y a deux genres de permaculteurs :

• ceux qui zappent complètement le compost (car ils ont la « flemme », n’osent pas se lancer de peur de mal faire, ou parce qu’ils pensent (à tort), ne pas avoir la place, le temps, redoutent les invasions de mouches ou de rongeurs…)
• et ceux qui le considère comme LA panacée… et se lancent sans vraiment savoir dans quoi ils s’embarquent, sans prendre le temps de comprendre le rôle ni le fonctionnement d’un compost pour leur jardin, car bien souvent, on entend absolument TOUT et son contraire : impossible de démêler le vrai du faux !

Dans les 2 cas, c’est un GROS problème :

• les premiers passent à côté d’un TRÉSOR gratuit pour bonifier leur terre…
• Et les seconds prennent le risque de se dégoûter à vie du compost, car les résultats ne sont pas au rendez-vous, ou parce qu’ils sont envahis par les mouches ou les rongeurs, sans comprendre le pourquoi du comment. Ils finissent alors par se décourager complètement…

Je ne vous blâme pas, je suis aussi passée par là !

En toute franchise, mon tout premier compost était loin d’être une réussite.

Comme tout jeune permaculteur bien intentionné, pour moi, le compost, c’était la panacée.

LE geste écologique ultra-accessible, celui qui me semblait le plus simple à adopter.

J’étais encore étudiante et je vivais en ville, sans jardin, et je ne m’y connaissais vraiment pas du tout en potager (et encore moins en sol…)

Les mots « carbone » et « azote » ne m’évoquaient rien d’autre que de vieux cours de chimie…

Alors, autant vous dire que j’ai enchaîné bourdes sur bourdes !

Entre les moucherons, l’odeur nauséabonde et la texture peu ragoûtante, le résultat n’était pas du tout au rendez-vous, et bien loin de ce que je m’étais imaginé…

J’ai même failli jeter l’éponge plusieurs fois.

Avec le recul, j’ai compris que tous ces échecs répétés étaient dus aux erreurs de débutants (je les ai toutes faites !).

 Et il m’a fallu 3 saisons pour réussir mon premier compost ! 

Et si je vous écris aujourd’hui, c’est pour vous éviter ces déboires et vous donner directement accès au meilleur du compostage , sans les détours et les mésaventures que j’ai traversées !

Comme je sais combien on peut se sentir perdu quand on débute et qu’on veut s’atteler à l’épineuse question du compost, je suis allée à la rencontre des experts pour connaître leur méthode secrète.

Je vous la livre aujourd’hui, dans cette lettre.

Mais avant de vous la présenter…

Je dois insister sur une chose très importante .

• Si vous ne voulez pas faire partie de ceux qui restent les bras croisés, à regarder leur sol se dégrader petit à petit sans réagir…
• Mais que vous voulez rejoindre la poignée de permaculteurs qui créeront la BASE d’un sol fertile pour battre leurs records de récoltes…

… Alors, il est VRAIMENT urgent de commencer votre compost là, maintenant.

Si vous en êtes, lisez de toute urgence ce qui suit : je parie que vous voudrez vous y mettre dès demain !

Une extinction de masse dont PERSONNE ne parle :
la BASE de notre système alimentaire menace de s’effondrer là, sous nos pieds !

Et notre santé à tous est directement affectée :

• les nutriments désertent nos sols : les légumes qui y sont cultivés s’en trouvent considérablement appauvris en nutriments (fer, lithium, magnésium, zinc, cuivre, iode) [1] ;
• 70 fruits et légumes les plus consommés en France ont perdu en moyenne 16% de leur calcium, 27% de leur vitamine C et 48% leur fer, selon l’ANSES, Agence Nationale de Sécurité Alimentaire (révélés par Cash Investigation en 2019 [2])
• les pesticides et les excès d’engrais (censés pallier l’appauvrissement des sols) finissent dans nos assiettes ; inutile de vous rappeler que cela affecte notre santé : les alertes des médecins et des scientifiques se comptent par milliers [3].
• Et c’est pareil pour l’eau que l’on boit quotidiennement, à mesure que les polluants chimiques s’y accumulent (nitrates, phosphates, pesticides) [4];
• sans parler du « goût » douteux (ou devrais-je dire, du manque de goût ?) des légumes des productions intensives, issus de graines de laboratoire [5]…

Quand on sait que 95% du contenu de nos assiettes proviennent directement du sol [1]...

On comprend mieux à quel point notre santé en dépend .

C’est d’autant plus alarmant quand on sait que  60% des sols cultivables de la planète sont dans un état absolument déplorable  : vidés de toutes leurs réserves nutritives [6] !

Si le sol n’est plus suffisamment enrichi de matière organique, il devient en toute logique aussi sec et infertile que son élément de départ : la roche.

Autrement dit, dégrader le sol dans son ensemble aurait exactement le même effet (voire, un effet encore plus terrible) que de recouvrir de ciment l’ensemble de la surface de la planète !

C’est un scénario catastrophe extrême, je vous l’accorde, mais nous nous engageons dangereusement sur cette pente !

Comment avons-nous pu en arriver là, alors que les potagers de nos ancêtres étaient si riches et abondants en nutriments ?

Car nos modes de vie et de culture n’ont plus rien à voir avec ceux de nos arrière-grands-parents…

Le potager de nos anciens était riche, sain, bourré de nutriments !
C’est TOUT le contraire d’aujourd’hui…

Peut-être vous souvenez-vous du potager de vos parents ou grands-parents.

Leurs terres étaient nourries en permanence, car nos ancêtres rendaient systématiquement à la terre ce qu’elle leur avait donné.

Pour eux, c’était comme une évidence.

Jamais ils n’auraient songé une seule seconde à se débarrasser de ces ressources, sans chercher à re-valoriser ce qu’ils ont mis des mois (et parfois des années) à produire à la sueur de leur front…

Les sols se réapprovisionnaient ainsi en nutriments, via les restes des repas, les « mauvaises herbes », les déjections des poulaillers, les cendres du foyer et le foin des fermes alentours, qu’ils mettaient directement en surface du sol, ou qu’ils laissaient mûrir pour en faire un bon compost.

Bref, TOUT était utile : la notion de « déchet » n’existait pas… et celle de « gaspillage », encore moins, car TOUTES ces matières étaient des trésors pour bonifier la terre.

Aujourd’hui, cette tradition s’est complètement perdue, dans notre culture du prêt-à-jeter.

Nous bazardons désormais des tonnes de ressources qui valent de l’or dans des décharges, parce qu’on les considère comme des « déchets » indésirables, pour les incinérer à l’autre bout de la région.

Alors qu’ils pourraient être revalorisés tout près de chez nous…

Ou directement dans notre jardin, pour sauver nos sols d’une dégradation totale et irréversible .

Sol ingrat, ou peu fertile ?
Ne vous faites plus avoir : la solution est GRATUITE et DÉJÀ là…
dans vos poubelles !

Si vous voulez :

• des fruits et légumes sains et en grande quantité
• reprendre en main votre souveraineté alimentaire
• vous libérer de l’emprise des multinationales sur votre assiette

Alors, j’ai une BONNE NOUVELLE pour vous :

 Vous avez déjà TOUT ce dont vous avez besoin, immédiatement à disposition, pour bonifier votre sol sur le long-terme. 

Il n’y a qu’à voir la taille de nos poubelles pour comprendre que là encore, le problème EST AUSSI la solution !

Nous sommes de plus en plus nombreux à jeter à tort et à travers, à gaspiller…

Et selon les experts, la tendance n’est pas prête de s’inverser…

Rien qu’en France…

• 10 millions de tonnes de déchets sont purement et simplement jetées chaque année [14] ;
• 1 habitant pèse l’équivalent de 85 kg de déchets gaspillés [15] ;
• Et les matières organiques occupent 1/3 de nos poubelles [14] ! C’est énorme : ce sont 30% qu’on pourrait revaloriser en à peine 10 minutes au jardin. Je vous laisse imaginer la différence que ça fait sur plusieurs années… c’est un impact de taille !

Autant de matières et de ressources végétales qui ne seront JAMAIS valorisées, et finiront purement et simplement incinérées.

C’est du GÂCHIS sur toute la ligne :

• Ce qui n’aurait alors pas dû avoir d’impact environnemental finit par produire du CO2, parce qu’on ne prend pas la peine de trier (alors que ça prend à peine 5 minutes de les ajouter à son bac à compost)… : 649 kg d’équivalent CO2/tonne de biodéchets, contre seulement 5,3 kg si on s’en servait pour nos sols [16] !
• En plus, ça vous coûte un bras : en sacs poubelles, en enlèvement d’ordures, en essence, lorsque vous faites des allers-retours à la déchetterie après une grosse tonte…
• Sans parler des 400€/an que vous payez pour que les déchets de votre foyer soient gérés par les collectivités : elles doivent organiser toute la logistique d’enlèvement de vos déchets ménagers, le transport vers la déchetterie ou le centre d’incinération, mais aussi effectuer un tri sur place, prévoir un lieu de stockage jusqu’à ce que les déchets soient incinérés… [17]

Et tout cela pour RIEN.

Car ces ressources ne retourneront JAMAIS à la terre (et qu’il n’y a aucun intérêt énergétique à leur incinération, les plantes étant constituées essentiellement d’eau : eh oui, on « brûle de l’eau » ! Absurde, n’est-ce pas ?).

Ce n’est donc pas pour rien qu’on commence doucement à s’orienter vers une taxe sur les déchets organiques, à l’image de nos voisins suisses ou allemands !

Si toutes ces initiatives voient le jour, ce n’est PAS par hasard.

C’est parce que le gaspillage est devenu la norme, alors que ces matières sont la CLÉ indispensable pour régénérer nos sols, et les sauver d’une dégradation totale et irréversible.

Sachant tout cela…

 Souhaitez-vous vraiment léguer une planète-poubelle à vos enfants et petits-enfants ? 

Si vous lisez encore cette lettre, la réponse est très probablement « non ».

Mais pour inverser la tendance (car oui, c’est possible à votre échelle), vous devez passer à l’action MAINTENANT.

Tout ce que je vous raconte depuis le début ne mène qu’à UNE conclusion.
Mais il faut AGIR MAINTENANT.

Je vais être très franche avec vous.

Si vous êtes dans une démarche de réduction de votre impact environnemental, d’autonomie et en quête de sens dans ce monde (même si vous n’avez pas encore de jardin)….

Jeter vos déchets organiques dans des sacs plastiques est une hérésie.

Et si vous avez déjà un potager…

Ça vous choquera peut-être, mais je préfère vous le dire tout de suite.

 Sans compost, vous ne jardinerez JAMAIS vraiment en permaculture. 

En fait, c’est LA première étape indispensable, l’élément clé d’un jardin permacole réussi, abouti.

Permaculture et compost sont indissociables, comme 2 facettes d’une même pièce (à mon sens en tout cas) !

C’est donc la première chose que je recommande  aux jardiniers, quel que soit leur niveau .

Et ceux qui ne suivent pas ce conseil le regrettent amèrement par la suite… quand ils voient qu’au bout de 2 ans, leur sol fertile s’est transformé en semelle sèche, dure et ultra-compacte… un vrai bloc de ciment !

● Un sol vivant est comme une éponge pleine d’eau.

●  Un sol affamé, c’est une éponge qui devient si sèche qu’on dirait une pierre... 

Pas étonnant alors qu’il soit compact, « ingrat », difficile à jardiner et qu’il produise peu !

Un choix décisif s’offre donc à vous aujourd’hui :

• ferez-vous partie de ceux qui restent les bras croisés, à regarder leur sol se dégrader et s’affamer à la vitesse grand V, sans réagir ?
• Ou rejoindrez-vous la poignée de permaculteurs qui créeront la BASE d’un sol durablement fertile, pour battre tous leurs records de récoltes ?

Cet ingrédient à lui SEUL peut résoudre au moins 5 problèmes fréquents pour votre jardin !

D’ailleurs, les permaculteurs avertis le savent très bien : pour un jardin réussi et abondant, la pierre angulaire de la démarche permacole…

C’est le compost.

Ils savent par exemple que…

• le compost bonifie TOUS les types de sols, et en résout les soucis de fertilité ou d’acidité [21] ;
• il peut être employé en prévention des maladies ou des pollutions , car il forme une barrière de protection bactérienne ultra-performante [21].
  On peut même espérer échapper au mildiou si on s’y prend suffisamment tôt et qu’on anticipe !
• Le compost, ce n’est PAS juste un terreau lambda : c’est ultra-riche et puissant , alors il ne faut surtout pas avoir la main trop lourde (sous peine de voir ses récoltes en souffrir) [21] ;
• on peut l’utiliser partout, tout le temps et presque à tous les stades de maturité (mais on ne l’emploiera pas pour les mêmes plantes) ;
• c’est l’ingrédient tout trouvé pour redonner un petit coup de frais à une plante en pot un peu essoufflée, pour revigorer un semis mollasson, stimuler le système racinaire des jeunes plants de tomates [21]… ;
• idem si vos récoltes restent maigrichonnes (pour ne pas dire carrément décevantes) ;
• ou si vous avez un sol « ingrat » , sec, peu fertile, compact, acide, en manque d’humus, le compost le rééquilibrera et le régulera dans tous les cas [21] ;
• si votre sol manque de nutriments après une culture de courges un peu gourmandes, le compost sera l’ingrédient parfait pour en reconstituer les stocks d’azote, de phosphore ou de potasse avant vos futures cultures ;
• en hiver, il protège vos végétaux du gel, et prévient la sécheresse du sol en été ;
• le compost est indispensable pour les plantes ornementales comme pour les potagères : il revigore vos parterres de fleurs, vos haies, ravive votre pelouse…
• il sera prêt en à peu près 6 mois : il constituera alors une ressource VITALE, gratuite et toujours à portée de main , pour des récoltes belles, prometteuses, satisfaisantes… qui feront le bonheur et la fierté du jardinier.
• Et tout cela, sans acheter quoi que ce soit, ni passer ses weekends à s’en occuper : il suffit d’1 seul outil (en plus, je parie que vous l’avez déjà…) et d’à peine 10 minutes par semaine !
• Et si vous n’avez pas (encore) de jardin, sachez qu’il existe même une technique révolutionnaire qui permet de composter facilement, rapidement, même dans son couloir ou sur son balcon…

J’ai failli oublier : le compost fait-maison, c’est INCOMPARABLE pour vos récoltes.

Et vous auriez vraiment tort de vous priver plus longtemps de ses vertus inégalées.

Car cultiver la vie de sol, c’est la BASE : les cultures viendront après !

Et si vous pensez qu’il suffit de vous rendre en jardinerie, je préfère vous prévenir tout de suite.

 NON, le meilleur compost du monde ne s’achète pas (et même si c’était le cas, il ne serait certainement pas vendu dans ces soi-disant sacs plastique d’« or brun » prêts à l’emploi, vendus à prix d’or par les jardineries lambda, surtout quand on leur colle une étiquette « bio »…) 

Il se crée !

Pour votre santé et celle de votre sol, la seule solution…

C’est de faire votre propre compost maison.

Celui qui, comme la Terra Preta des Amérindiens, sera adapté à VOS ressources, à VOS conditions, et répondra à VOS besoins .

1. Parce que vous saurez exactement ce qu’il y a dedans : vous reprenez le contrôle sur votre potager, et donc sur votre alimentation !
2. Parce que ce compost sera en partie constitué de vos précédentes plantations et récoltes, empreint des paramètres de votre terrain. Vous rendez directement à votre sol ce que vous lui avez pris, à l’endroit même où vous le lui avez pris.

Vous suivez vraiment le modèle de la nature, ce qui fait de vous le permaculteur-modèle (bravo !    ).

 C’est VITAL pour la santé de votre sol , et par conséquent, votre santé à vous , le jardinier ! 

Un bon compost, c’est la clé de récoltes ultra-saines .

Non seulement il améliore la capacité du sol à supprimer les agents pathogènes les plus fréquents (comme la listeria et la salmonelle), en améliorant sa diversité microbienne [22]...

Mais en plus, il apporte à votre terre les nutriments essentiels dont elle aura besoin pour se régénérer après les récoltes [21].

Mieux encore : il va BONIFIER votre sol.

Et ce, quel que soit sa nature, sa texture :

• Sol argileux ? Le compost y apportera de la légèreté et l’aèrera.
• Sol sableux ? Le compost lui donnera du corps et améliorera sa capacité de rétention de l’humidité.

Rien de magique à cela.

Il suffit de 3 ingrédients clés :

1. Azote
2. Carbone
3. Oxygène

Ni plus, ni moins.

Plus d’excuses !
Jardin ou PAS, vous DEVEZ avoir un compost dès demain…

Je ne peux que trop bien imaginer ce que vous devez vous dire…

« Ça a l’air génial  , Florence, mais… de loin ! Mes expériences avec le compost n’ont pas franchement été glorieuses. Même mon voisin a raté le sien, et ça sentait franchement mauvais, sans parler des mouches ET des rats… Autant te dire que ça m’a refroidi ! » 

MAIS je sais qu’il y aussi un grand “MAIS” qui vous empêche de vous lancer, comme A., Marie ou Olivier :

 

Je vous arrête tout de suite :  oubliez TOUT ce que vous croyez savoir sur le compost . 

Et pour vous qui hésitez encore, mettons fin aux idées reçues !

Vous allez voir dans un instant que tout ce que vous avez pu entendre dans votre entourage ou lire à ce sujet sur Internet n’est PAS systématique.

Ce serait bien dommage de vous priver de l’ingrédient qui a fait toute l’abondance des jardins de vos ancêtres.

Si vous pensez, comme la plupart des gens, que…

« Le compost, ça sent mauvais »
FAUX, archi-faux !

Mettons tout de suite les choses au clair : NON, un compost bien entretenu ne sentira JAMAIS l’œuf pourri.

Si votre compost sent mauvais, c’est qu’il n’est pas en bonne santé : il y a quelque chose qui cloche, un déséquilibre à réguler !

Rassurez-vous :  si vous comprenez son fonctionnement, que vous respectez les 3 règles d’or et que vous évitez les erreurs de débutants  , vous n’aurez jamais de nuisances de cet ordre.

Il pourrait même être installé sous votre fenêtre sans problème !

Par contre, si vous vous contentez :

• d’ajouter des déchets sans réfléchir ;
• sans chercher à équilibrer les matières vertes et les matières brunes ;
• et, en plus, sans jamais aérer…

Alors là, oui, très clairement, vous courrez tout droit à la catastrophe .

Car c’est bien simple : un compost ne sent mauvais qu’en cas de mauvais entretien.

Et pour s’éviter ces désagréments, il n’y a pas de secret : il faut BRASSER, BRASSER, BRASSER.

C’est LE mot d’ordre pour un compost réussi !

C’est un être-vivant : si vous lui accordez un minimum d’attention (une dizaine de minutes de brassage par semaine suffisent), il ne vous causera pas le moindre problème.

« Le compost, ça attire les moucherons et les rongeurs, alors non merci ! »
FAUX

Là encore, c’est complètement faux.

1. Les drosophiles n’envahiront JAMAIS votre compost…

… Sauf si vous l’entretenez mal et que vous laissez un lit de déchets humides en surface.

Les moucherons raffolent des épluchures fraîches pour pondre (ce sont les mêmes mouches que celles que vous trouvez dans vos corbeilles de fruits laissées trop longtemps à l’air libre).

Un petit brassage et une bonne couche de déchets carbonés en surface suffiront à les déranger !

 2. Vous ne trouverez pas de famille de rats dans votre composteur 

Si, comme cette lectrice, vous avez eu la mauvaise surprise d’accueillir une famille de rats dans votre composteur…

N'arrêtez surtout pas de composter pour autant !

Vous verrez qu’il suffit de gestes simples et de 2-3 bonnes pratiques pour éviter tous ces désagréments.

En fait, c’est exactement comme pour votre potager : les mouches, rats, mulots et autres ne viennent QUE si VOUS les avez invités (si votre compost n’est pas fermé par le haut, s’il reste accessible par en-dessous (vous pouvez le grillager au niveau du sol si besoin), ou si vous avez complètement oublié de le brasser, par exemple).

Avec un composteur bien équilibré et aéré, vous ne croiserez aucune famille de rongeurs ou des nuées d’insectes.

« Un compost, ça prend trop de temps »
FAUX

Si vous avez 10 minutes par semaine (ou toutes les 2 semaines), c’est largement suffisant.

Pas besoin de plus !

Ces 10 minutes, je parie que vous les avez, et c’est tout ce dont vous avez besoin pour remuer rapidement votre bac et observer son évolution.

Bien sûr, comme c’est une matière vivante, le compost a besoin d’un minimum de temps pour se bonifier (entre 3 et 18 mois en moyenne, selon son type et sa taille).

MAIS ce n’est pas vous, le jardinier, qui travaillez votre compost…

Ce sont les microorganismes et la faune du sol !

Et ils ne peuvent pas accomplir leur travail en quelques minutes : il faut compter des heures, des semaines, des mois.

MAIS ce sont bien EUX qui travaillent pour vous… et non l’inverse !

Et pendant ce temps-là, vous, vous pouvez vous consacrer à plein d’autres travaux réjouissants au jardin : les récoltes, les semis, les plantations…

Par exemple, en ce moment, je ne passe pas plus de 10-15 minutes (tous les dimanches) à brasser mon compost : cela me laisse ensuite le loisir de m’occuper des autres travaux du jardin...

1. Quand je cuisine mes repas de la semaine le dimanche, je stocke tous mes déchets verts dans un grand saladier.
2. Quand je vais au jardin, j’emporte mon saladier et je le verse dans mon bac à compost.
3. Comme j'ai toujours un stock de feuilles mortes ramassées en automne, je n’ai qu’à les ajouter par-dessus, avec d’autres brins de paille, restes de tailles et bouts de bois qui traînent.
4. Puis, je brasse la surface (pas besoin de plus) pendant 10 minutes à l’aide de ma fourche (Romain vous montrera comment procéder en vidéo),
5. et c’est tout : je retourne à mes semis et plantations.

Et si je veux vraiment gagner du temps, j’y ajoute 2 plantes bien précises : c’est radical pour apporter un petit coup de boost à son compost !

« Je n’ai pas de jardin, alors ça ne me servirait à rien… et puis j’ai pas la place ! »
FAUX : on peut composter sur 0,5m ²

Oui oui, même si vous vivez au 7ème étage ou que vous n’avez qu’un tout petit balcon en plein Paris !

Même si vous n’avez qu’un ½ mètre carré d’espace libre, vous POUVEZ (et même DEVEZ) composter…

Avant de crier au « grand n’importe quoi ! », laissez-moi vous expliquer    

Il existe une alternative surprenante et révolutionnaire pour les petits espaces …

C’est la technique ULTIME : le lombricompostage.

Ces vers valent de l’or !

C’est tout simple, efficace, rapide, vous pouvez partir en vacances tranquille, et sans risque de nuisances (pas d’odeurs ni d’insectes, car c’est complètement hermétique ! Je connais même des gens qui en ont un dans leur cuisine ou le couloir de leur appartement, c’est vous dire.)

C’est comme une petite poubelle spéciale « déchets de table » ultra-discrète : quand vous avez terminé de cuisiner, vous n’avez qu’à ouvrir, remplir le bac et laisser travailler les vers !

Et si vous avez une jardinière de fraisiers, la différence va juste vous sauter aux yeux :

Je sais bien ce que ça peut sembler étrange de composter si l’on a pas (encore) de jardin, ou seulement quelques plantes en pot dans le salon.

Alors si vous vous demandez encore à quoi ça pourrait bien vous servir, laissez-moi vous expliquer :

• composter en appartement, c’est BON pour vos plantes d’intérieur, vos jardinières de géraniums, vos pensées sur le balcon, et les plantes vertes ou aromatiques de la cuisine (c’est à utiliser comme un engrais : il suffit d’en mettre un petit peu à la surface du pot pour leur redonner un coup de boost, ou carrément pour rempoter vos plantes) ;
• composter en appartement, c’est BON pour créer du lien avec vos voisins : peut-être certains ont-ils un petit rez de jardin, ou des pieds de tomates un peu flétris sur le balcon qui ne diraient pas non à un bon compost ?
• Et enfin, vous pouvez en donner autour de vous, aux maraîchers du marché, dans votre famille, à ceux de vos amis qui jardinent, etc.

Vous le voyez bien : dans tous les cas, n’importe qui PEUT (et même DOIT) composter !

Je ne vais pas vous mentir… le compost, c’est compliqué (et simple à la fois) !

Oui, le compost c’est génial et ça paraît presque magique…

Mais souvent, on se lance tête baissée quand on débute, alors qu’il y a (quand même) quelques grands principes à connaître.

Je suis bien placée pour le savoir : quand on débute le compostage, ça semble simple ET compliqué à la fois…

Car il y a autant de façons de composter qu’il y a de jardiniers, et tout autant d’utilisations possibles :

• au jardin, en tas, en bac ;
• sur le parking de l’école, dans le composteur collectif ;
• dans le couloir de l’appartement, ou sur le balcon, avec un lombricomposteur…

Vous allez donc devoir relever plusieurs défis :

1.  Démêler le vrai du faux, car on lit absolument TOUT et son contraire sur Internet (et même dans les livres) 

Pas besoin d’aller chercher bien loin pour voir que le compost suscite bien des débats :

Sources : [25], [26], [27]

Pas facile d’y voir clair… on ne sait plus où donner de la tête :

• Entre ceux qui disent qu’on peut y mettre ses pelures de citrons et autres agrumes… mais JUSTE en petites quantités ;
• ceux qui disent qu’ils perturbent le processus de décomposition et qu’il ne faut donc « SURTOUT PAS les mettre !! » ;
• ceux qui crient à la catastrophe à la moindre coquille d’œuf qui atterrit dans leur bac ;
• ceux qui disent qu’il faut absolument bannir les cendres du compost, et plutôt les mettre directement sur le sol…

Bref, en matière de compost, tout le monde y va de son commentaire (surtout sur Internet, on trouve de tout et de rien).
Et finalement, la plupart des informations sont complètement contradictoires, ou sont infondées…

2. L’entretien et l’utilisation de votre compost

Le compost fonctionne comme un être-vivant, un écosystème à part entière : il respire, boit et mange, comme vous et moi, car il contient une foule de petites bêtes. Il vous faudra apprendre à les apprivoiser et les alimenter de façon équilibrée, avec la juste dose d’azote et de carbone, pour combler au mieux leurs besoins et leur donner envie de travailler pour vous ! Vous devrez donc connaître les astuces pour alimenter, diagnostiquer et analyser votre compost comme un pro’.

3.  Réaliser et réussir votre compost du premier coup, en 3 mois ! 

Beaucoup de jeunes permaculteurs considèrent le compost comme une panacée au jardin, et ils ont raison.

Mais bien souvent, ils se lancent sans en connaître le rôle et le fonctionnement . Ils enchaînent alors les échecs, et beaucoup de personnes finissent par jeter l’éponge…

Pour réussir son compost, il faut en comprendre le processus et respecter quelques grands principes (brassage, rapport carbone/azote, taux d’humidité…), sans quoi, vous foncerez droit dans le mur…

Mais rassurez-vous, vous verrez que c’est un jeu d’enfant si vous suivez la bonne méthode : c’est simple comme bonjour, et je vous explique tout cela plus bas (encore un peu de patience) !

Vous êtes nombreux à me le dire : vous SAVEZ que c’est vital…
MAIS vous ne savez pas comment faire chez vous !

Depuis 2018, je compile mes expériences et vos questions sur le compost :

 

 

Ces questions sont cruciales , et leurs réponses aussi !

Alors, vous imaginez bien que je ne peux pas répondre n’importe quoi :

• OUI, il y a des grands principes universels, applicables partout et valables pour tous.
• MAIS comme toujours en permaculture, il faut aussi raisonner au cas par cas, selon VOS conditions et VOTRE terrain.

Impossible de faire cela toute seule !

Pour enfin vous proposer un support  simple, facile à suivre au quotidien et vous accompagner dans la réussite et l’utilisation de votre compost…

Je me suis mise en quête de LA perle rare.

Après plusieurs mois de recherches interminables, des coups de fils à répétition et d’emails restés sans réponses…

Je l’ai trouvée !

J’ai fini par la dénicher parmi ceux qui savent TOUT sur le compost (et ils se comptent vraiment sur les doigts d’une main… ils étaient moins de 300 en France en 2019 !).

C’est quelqu’un de beaucoup plus qualifié que moi, qui saura vous guider pas à pas, répondre à toutes vos questions et vous aider à enfin réussir votre compost, quel que soit :

• votre climat ;
• votre niveau de jardinage ;
• votre type de sol ;
• la superficie de votre terrain ;
• ou même si vous n’avez pas de jardin (eh oui) !

Il vous dévoilera ses meilleures astuces pour améliorer n’importe quel type de sol grâce au compost (argileux, sableux, limoneux, caillouteux…), avec des solutions faciles à appliquer chez vous :

• les tutoriels vidéo des gestes indispensables ;
• les 2 erreurs à ne surtout pas commettre quand on débute ;
• comment et quand utiliser son compost pour améliorer n’importe quel sol ;
• pourquoi il ne faut surtout pas l’utiliser sur ses semis (ou alors, pas tout seul…) ;
• pour enfin en finir avec le cercle vicieux des plantes faiblardes, des récoltes décevantes et des sols peu fertiles.

Pour vous, je suis allée dénicher LA perle rare :
Romain, maître-composteur et expert en (la) matière organique

Puisqu’on entend tout et son contraire sur le compost sur Internet, et qu’il est impossible de démêler le vrai du faux, j’ai voulu en avoir le cœur net, une bonne fois pour toutes.

Je me suis donc rendue en Savoie pour faire la connaissance de Romain, un maître-composteur d’exception :

C’est une perle rare… et une vraie pile électrique !

Comme vous et moi, il est passionné par la permaculture, la vie du sol et surtout le compost.

Il tient ça de sa grand-mère, qui en mettait déjà dans ses sillons avant de planter/semer… sauf qu’elle avait la main un peu lourde, apparemment !

Aujourd’hui, Romain passe ses journées à vadrouiller de gauche à droite pour transmettre son savoir au plus grand nombre : dans des associations, dans des écoles, chez des particuliers, pour des conférences en ligne, dans des jardins partagés…

Il est souvent en réunion jusqu’à 21H… alors honnêtement, rien que pour l’avoir au téléphone, c’est toute une organisation !

Mais pour vous, je n’ai rien lâché.

Parce que c’est selon moi l’expert idéal pour vous parler de LA thématique absolument essentielle dans un jardin permacole : le compost.

 Car il a une vraie double-casquette de passionné d’agroécologie/maître-composteur ! 

D’ailleurs, avant de le rencontrer, je ne savais même pas que ça existait, des « maîtres-composteurs » (en fait, ce sont eux qui interviennent dans nos communes pour installer des composteurs partagés, animer des ateliers autour de la prévention et de la gestion des déchets organiques… Vous en avez peut-être déjà croisé un, sans le savoir, dans votre ville ou village   !)

 Bref, autant vous dire que des experts comme lui, ça ne court pas les rues ! 

Il fait partie de la toute petite poignée de maîtres-composteurs certifiés en France, ceux qui connaissent le processus de A à Z.

Alors forcément, j’ai fait des pieds et des mains pour le rencontrer et le voir à l’œuvre sur le terrain, dans un jardin participatif de Chambéry.

Il a l’habitude d’enseigner aux jardiniers amateurs et aux futurs professionnels du compost, mais il est peu familier avec la caméra.

Alors, au début, il était un peu hésitant à partager ses secrets en vidéo…

Mais pour vous, lecteurs de Saine Abondance, il a accepté de faire une exception.

C’est donc un vrai privilège de pouvoir suivre une formation avec quelqu’un comme lui : non seulement il a une double expertise, mais en plus, il fait partie d’une toute petite poignée de spécialistes du compost, qui se comptent sur les doigts d’une main et sont donc tous très demandés (pour ne pas dire carrément overbookés) !

Ensemble, nous avons créé LA formation vidéo qui va transformer votre jardin pour de bon

Comme Romain s’y connaît bien en permaculture, il saura vous guider : que vous soyez encore un jeune permaculteur en transition ou plus expérimenté…

 Il va vous dévoiler un maximum d’infos indispensables pour votre jardin. 

Vous pourrez bénéficier de ses plus de 5 années d’expérience en jardinage ET en compostage.

Vous verrez, il maîtrise tout à la perfection :

• les gestes indispensables pour bien entretenir et activer son compost ;
• la technique du « brassage », pour l’aérer juste comme il faut (ni trop, ni pas assez) ;
• les subtilités de textures, pour obtenir un compost bien mûr et vivant, avec le taux d’humidité optimal ;
• les ingrédients indispensables, pour accélérer le processus de compostage et gagner du temps ;
• les techniques secrètes pour utiliser son compost au potager, de la meilleure façon possible, pour maximiser vos récoltes et vos semis… qu’il soit mûr ou pas, d’ailleurs !

Mais bien sûr, comme le compost est un sujet simple mais compliqué à la fois (surtout quand on ne le connaît pas et qu’on veut s’y initier par soi-même), je ne vais pas prétendre vous former comme un maître-composteur.

L’idée, c’est que vous n’ayez  QUE ce qui va vraiment vous être utile pour créer le cocon d’abondance naturelle dont vous rêvez  , dès cet été.

Avec Romain, on ne veut surtout pas vous infantiliser, sans vous apprendre à vous débrouiller par vous-même.

Comme le dit l’adage : « Quand un homme a faim, mieux vaut lui apprendre à pêcher que de lui donner un poisson. »

L’objectif de cette formation, c’est donc de VOUS former, de vous rendre autonome, et de ne vous délivrer QUE les informations qui vous seront utiles.

Et le format vidéo est juste idéal pour cela.

Car pour apprendre à réussir son compost maison de A à Z, il faut pouvoir en observer la texture, observer la gestuelle des pros’, pour l’entretenir de la meilleure façon possible, apprendre à repérer les signaux qui nous disent quand c’est mal parti…

Que ce soit pour bien brasser son compost, savoir l’aérer, l’enrichir ou l’utiliser au jardin…

Certains gestes sont vitaux, mais aussi très particuliers et pas forcément évidents à reproduire si on ne les a jamais vus bien exécutés.

Il faut les voir une première fois, pour les reproduire ensuite en toute sérénité et maximiser vos chances de réussite dans votre jardin ensuite.

Car c’est prouvé : observer les pros’ et leurs bons gestes nous rend plus confiants et nous fait moins redouter les erreurs !

Ensuite, vous n’aurez plus qu’à les répéter autant de fois que nécessaire.

Dans ces vidéos Le compost de A à Z : de l ’épluchure à la terre fertile, Romain vous dévoilera tous ses secrets bien gardés de maître-composteur, de la création de votre compost à son utilisation, pour lever tous vos doutes.

Il vous donnera aussi ses petites recettes personnelles et les dosages qu’il recommande, selon les plantes que vous souhaitez revigorer.

Normalement, ces techniques et conseils sont réservés aux maîtres-composteurs ou aux permaculteurs plus expérimentés.

À ma connaissance, aucune formation vidéo aussi complète et professionnelle n’a été réalisée en France : c’est 100% inédit !

Ces 27 vidéos et 2H30 de formation vont transformer votre jardin,
(oui, même si vous avez DÉJÀ un compost)

Après votre inscription, vous accèderez en illimité à 27 vidéos, soit 2H30 de formation.

Chaque vidéo dure entre 5 et 10 minutes, avec des démonstrations en direct, selon le sujet abordé et sa complexité.

Pour vous aider à tout assimiler et à retrouver facilement les informations dont vous aurez besoin saison après saison, j’ai divisé la formation en 5 étapes chronologiques , pour que vous suiviez votre progression et le cycle de vie de votre compost.

 Un aperçu de votre plateforme : vous n’aurez qu’à cliquer sur le titre de la vidéo pour la visionner ! 

Vous recevrez sous 1H un mail avec votre lien confidentiel pour accéder à vos vidéos, à vie et en illimité.

Une fois inscrit, vous pourrez les regarder  à tout moment, sur votre ordinateur, ou sur votre téléphone, et autant de fois  qu’il vous plaira.

Et bien sûr, le meilleur moment pour créer votre compost, c’est maintenant, mais vous pourrez tout aussi bien commencer à regarder vos vidéos quand vous souhaiterez concrétiser votre projet de compost.

Je ne résiste pas à vous présenter plus en détail le contenu de cette formation unique !

Voici ce qui vous y attend :

Dans le deuxième volet de cette formation, place à la pratique !

Découvrez…

Romain vous y dévoilera…

Je veux bien sûr parler du lombricompost !

Dans cette dernière étape, vous découvrirez…

Le guide écrit, pour toujours avoir sous la main toutes les clés d’un compost réussi

60 pages livrées sous 1H par email

Pour vous faciliter l’accès aux informations et garder une synthèse des éléments clés d’un compost réussi, je vous ai préparé un petit guide écrit, au format numérique.

C’est l’idéal pour ne rien rater et retrouver rapidement une information en cas de doute ou de question.

Il vous sera indispensable lorsque vous aurez visionné les vidéos de votre formation et que vous vous lancerez enfin dans la création ou l’utilisation de votre compost à la maison.

Vous y retrouverez notamment…

Ne loupez pas le coche !
Voici le TRÉSOR que vous obtiendrez dans 3 mois
(si vous commencez dès maintenant)

Mon compost semi-mûr, étalé sur une de mes planches

Je me réjouis d’avance de vous faire découvrir le plaisir de composter chez soi !

La première fois que j’ai répandu mon compost réussi au jardin, je n’en croyais pas mes yeux…

J’ai retrouvé mon regard d’enfant face à toute cette vie précieuse que je tenais entre mes mains !

Le tas me paraissait tout sec (en apparence), mais c’était en fait un vrai cocon de vie.

En toute franchise, observer et contribuer ainsi au cycle de la vie, ça m’a profondément émue. J’ai été envahie par une vague de reconnaissance et de gratitude.

Et j’avais la certitude de détenir entre mes mains quelque chose d’unique et de précieux, comme si j’avais déniché une petite mine d’or pour ma terre (bien loin des « terreaux » et autres « composts » que j’achetais avant en jardinerie…)

Vous verrez : c’est une satisfaction incroyable d’observer et de revaloriser les restes de ses récoltes et repas pour préparer ceux à venir !

Non seulement vous serez enfin capable de faire votre propre compost, mais vous serez aussi capable de :

• Réussir sans peine votre compost, l’entretenir et l’utiliser au jardin ou pour vos jardinières
• Créer un cycle vertueux d’abondance et de fertilité pour votre jardin.
• Partager autour de vous les joies du compostage ! Vous pourrez distribuer votre bon compost à vos proches (même ceux qui ont simplement un petit pot de persil dans la cuisine).
• Et peut-être même que vous leur donnerez le goût du compostage et qu’ils décideront de se lancer en appartement ou sur le balcon.
• Vous verrez que c’est vraiment difficile de rater son compost… à moins de vraiment le vouloir ! Au pire, il peut avoir besoin d’un petit rééquilibrage (Romain vous expliquera comment savoir si c’est le cas, et surtout, comment réagir). Dans tous les cas, il n’est quasiment JAMAIS bon à jeter : c’est un être-vivant, donc PLEIN de ressources en dormance, comme des graines qui attendent de germer.
• Vous verrez, vous vous passerez définitivement de tous les fertilisants bio vendus à prix d’or qui auraient pu vous tenter en jardinerie !

Vous n’avez pas le choix…
Si vous ne faites pas votre compost dès demain, vous ne deviendrez JAMAIS un permaculteur accompli !

Sans compost, vous prenez le risque d’appauvrir gravement votre sol.

Après 4 ou 5 saisons à puiser dans ses stocks sans ménagement, vous avez 80% de chance de vous retrouver avec ça :

Si vous laissez votre jardin s’affamer, à la solde des géants de l’agro-industrie

Au lieu de ça :

Si vous prenez entre vos mains l’avenir de votre sol,
De vos récoltes,
Et donc de votre santé
À condition d’agir dès maintenant

Mais ce n’est pas tout.

Pour vous aider à faire décoller votre jardin au plus tôt, j’ai mis le paquet :

5 CADEAUX pour un sol fertile dès maintenant et à vie : recevez votre kit OFFERT avec votre formation  Le compost de A à Z

Ces 5 cadeaux sont introuvables ailleurs.

Je les réserve aux élèves de cette formation (les plus désireux de TOUT savoir sur le sujet).

 Cadeau n°1 : Mon compost en quelques notes : pour suivre l’évolution de votre compost en toute sérénité ! 

Mon carnet numérique exclusif de 18 pages offertes !

Au programme, l’essentiel du compost résumé en quelques fiches techniques, un espace de notes personnelles et un petit calendrier pour :

• Suivre l’évolution de votre compost mois après mois : ne passez pas à côté de ce que vous dit votre compost (« je progresse bien ! » ou peut-être « j’ai soif ! »).
• Retrouver le plaisir d’expérimenter , d’analyser, de décortiquer avec vos enfants et petits-enfants : ils adoreront jouer les petits scientifiques du compost !
• Prendre une saison d’avance  sur les matières organiques à apporter à votre compost et vous assurer de le nourrir de manière équilibrée tout au long de l’année.

 Cadeau n° 2 : La consoude de A à Z, ou « Le mini-compost à planter » 

Cette plante est l’une des favorites des permaculteurs (à raison !).

On l’appelle parfois « l’instant-compost » parce qu’une fois fanée son rapport carbone/azote équivaut à celui d’un compost très mûr : c’est comme un mini-compost à planter !

Lorsque vous la cultivez, elle apporte ses bienfaits notamment à la vie microbienne souterraine et à vos plantes (elle leur distribue les nutriments qu’elle puise dans le sol… Un modèle de générosité botanique   ).

Mais la consoude peut également enrichir votre compost et… l’activer.

Dans ce dossier à télécharger gratuitement, vous apprendrez tout ce qu’il y a à savoir sur cette plante particulièrement vigoureuse qui a sa place  dans votre potager, dans votre compost et même… dans votre boîte à pharmacie  (je l’utilise à chaque fois que je me coupe) !

 Cadeau n°3 : L’Ortie de A à Z, alliée du jardinier ET du compost 

Sa faculté urticante est diablement redoutable… Mais on lui pardonne bien ce défaut lorsqu’on sait tout le bien qu’elle nous prodigue (à nous et à notre jardin).

Il s’avère non seulement que les autres plantes poussent mieux en sa compagnie mais aussi qu’elle a de nombreuses propriétés médicinales.

Avec ce dossier numérique offert, vous allez enfin découvrir :

• La recette d’un purin fabuleux capable de booster votre compost ET d’éloigner certains parasites (comme les pucerons ou les acariens)
• Les nombreux atouts de l’ortie pour votre sol (indicatrice, dépolluante… et bien plus encore !)
• Les 3 méthodes pour la récolter sans vous piquer : une pour les pressés, une pour les prudents et une pour les courageux !

Comme moi, vous ferez très rapidement de l’ortie l’une de vos plus fidèles alliées pour un sol fertile et des plantes en pleine forme !

 Cadeau n°4 : Les 7 commandements et le tutoriel des cultures en lasagnes, ou comment cultiver SANS jardin, sur TOUTES les surfaces (même le bitume). 

Je vais vous dévoiler quelque chose d’étonnant : il est possible de cultiver sur du bitume (oui, vous avez bien lu, du bitume !).

Comment ? En utilisant la fameuse technique de la butte en lasagnes .

La lasagne est une sorte de  compost-potager qui allie plantation ET re-valorisation des déchets au même endroit  .

Le principe ? Créer un compost « organisé » en alternant les couches de déchets et y planter directement ses fruits et légumes.

Grâce à ce tutoriel numérique en images, vous passerez maître dans l’art de cette méthode de culture hors sol qui vous permet de faire de n’importe quelle surface, un terrain cultivable !

Je vous explique :

• Comment réaliser votre propre butte en lasagnes, étapes par étapes , dans un tutoriel si simple que même un enfant de 8 ans pourrait le suivre
• Comment éviter toutes les erreurs de débutants grâce à mes 7 commandements (le numéro 5 est encore trop souvent oublié !)
• Comment créer un potager sur tous les terrains : sur un sol pauvre et caillouteux, en l’absence de jardin… Le manque de terrain cultivable ne sera plus jamais un obstacle.

 Cadeau n°5 : Tout savoir sur le lombricompost – Pour composter, même en appartement, sur votre balcon ! 

Je l’ai dit plus haut et je vous le répète : le compostage c’est utile ET possible même en appartement, même lorsqu’on n’a pas de jardin !

Pour vous, jardiniers urbains (ou vous, qui souhaitez un compost de grande qualité en à peine 3 mois) je vous propose mes astuces et mes conseils pour :

• Créer votre lombricomposteur vous-même , grâce à mon tutoriel vidéo fait maison ;
• Améliorer la structure de votre sol en suivant le bon dosage pour le bon ingrédient fourni par votre lombricomposteur (car NON, le lombricomposteur ne vous apporte pas seulement du lombricompost mais aussi du lombrithé !) ;
• Permettre un meilleur développement racinaire pour vos plantes ;
• Résoudre aisément les problèmes les plus courants du lombricompost : vous n’aurez plus jamais peur que vos vers tentent de s’échapper ! Vous saurez exactement comment les convaincre de rester sagement dans leur petit refuge en leur créant un environnement sain    
• Avoir immédiatement à portée de main un support écrit de votre module vidéo Zoom sur le lombricompost disponible dans votre formation.

Grâce aux lombrics, vous allez créer  un compost et un lombrithé ultra puissants à vitesse grand V, à utiliser dès cet été ! 

Encore une fois, tout ceci vous est OFFERT :

Pas de mauvaises surprises ou de paiement supplémentaire à la dernière minute.

Vous me connaissez, ce n’est pas comme ça que je fonctionne.

Tous ces dossiers numériques, je les DONNE aujourd’hui à ceux qui s’inscriront à ma formation pour les accompagner dans leur maîtrise du compostage.

Ils s’appuient sur toutes les connaissances que vous allez acquérir dans votre formation pour aller encore plus loin.

Avec eux, il n’est plus seulement question d’un compost réussi.

 Mais d’un compost boosté, véritable terreau fertile pour cultiver sur toutes les surfaces et vous accompagnant dans votre objectif zéro déchet ! 

On récapitule : une formation vidéo de 2H30, un guide de 64 pages, 5 dossiers approfondis…
Pour vous, j’ai vraiment cassé le prix !

Cette formation vidéo et ce livre papier sont le fruit d’un travail de longue haleine.

Avec Romain, nous avons dû :

• organiser la formation,
• préparer et tourner les 27 vidéos,
• créer et héberger la plateforme de formation,
• rédiger, mettre en page et imprimer le guide qui l’accompagne…

D’ailleurs, si on faisait le calcul ensemble, cette formation est un vrai investissement pour votre avenir, celui de votre jardin, mais aussi celui de la planète et de vos proches.

• Une formation pour devenir maître-composteur coûte minimum 1200€
• Un stage ou ateliers d’une journée pour apprendre à faire et utiliser son compost, près de 100€
• Et c’est sans compter les coûts de transport et d’hébergement.

(Et je ne parle même pas de la loi anti-gaspillage qui sera mise en application dès janvier 2024, où vous commencerez à payer pour vos sacs poubelles et vos déchets organiques non-revalorisés… )

Mais ici, vous n’aurez même pas à débourser cette somme-là.

Car, pour vous, j’ai vraiment cassé le prix !

Romain est un maître-composteur certifié (comme on en trouve rarement), en plus d’être formateur et animateur en permaculture.

Vous pourrez bénéficier de TOUT son savoir et surtout comment faire son compost de A à Z en partant de zéro.

Honnêtement, étant donné la qualité de la formation, nous avons longtemps hésité à fixer un prix aussi bas.

MAIS :

• parce que je tiens à ce que vous découvriez vous aussi le plaisir de faire son compost maison, et que vous participiez à la préservation de cette tradition millénaire et salvatrice… ;
• parce que Romain a tenu à rendre son expertise accessible au plus grand nombre (il croit sincèrement que le compost est une solution d’avenir à démocratiser) ;
• et parce que la communauté Saine Abondance est aussi soudée…

Vous pouvez rejoindre cette formation pour seulement 97€ .

On voit bien que cette formation, c’est un investissement urgent et immanquable : un vrai privilège de bénéficier de conseils d’une telle rareté, à ce prix-là !

C’est maintenant que se préparent les meilleurs composts et les jardins d’abondance…

Et c’est maintenant que je vous propose cette opportunité unique.

0 risque, avec votre triple garantie

➔ Garantie n°1 : 30 jours pour tester

Après votre commande, vous disposez de 30 jours pour tester et vous faire un avis définitif sur cette formation unique.

Si vous changez d’avis sous 30 jours, tout ce savoir et cette expertise ne vous auront même pas coûté un centime : vous pourrez réclamer un remboursement intégral sur  ce formulaire de contact  (rubrique « remboursement », en indiquant l’adresse que vous avez utilisée pour passer commande).

Et nul besoin de vous justifier, je vous fais entièrement confiance.

➔ Garantie n°2 : la confiance des Lecteurs Saine Abondance

Chaque jour, les Lecteurs de Saine Abondance nous notent, partagent leurs avis, nous témoignent leur confiance et soulignent la qualité de nos contenus sur cette plateforme indépendante d’avis vérifiés :

➔ Garantie n°3 : commandez en toute sécurité

Vous êtes nombreux à m’avoir fait part de vos réticences à payer en carte bancaire sur Internet, et je vous comprends.

Pour vous garantir la plus haute protection qui soit lors de votre paiement, j’ai réussi à obtenir l’accréditation SEPA, instaurée par le Conseil européen des paiements :

EDF, La Poste, Orange, Free…

Toutes les plus grosses entreprises françaises et européennes font confiance à ce mode de paiement ultra-sécurisé.

Vous pouvez donc réserver votre place dans cette formation sans la moindre crainte :

1. Plus besoin de divulguer votre numéro de carte bleue : votre banque communique directement avec la mienne, sans intermédiaire, pour limiter les risques de fraude.
2. Vous pouvez réclamer un  remboursement immédiat, sans frais, et sans intermédiaires  jusqu’à 8 semaines après la date de votre commande.

Récapitulons-nous !

Rejoignez maintenant cette formation et créez enfin la terre d’abondance dont vous rêvez pour votre jardin, avec des astuces et des conseils concrets et pratiques, prêts à appliquer dès demain :

• finis les semis faiblards ou les plantons peu vigoureux : vous saurez exactement quand et comment les revigorer avec la juste dose de compost fait-maison ;
• vous direz enfin adieu aux fertilisants tout-chimiques des multinationales (si vous en utilisez encore…), car vous saurez quand, comment et pourquoi il est urgent de les remplacer efficacement par du bon compost, et en quelles proportions ;
• vous aurez toujours sous la main des conseils pour entretenir, réussir et utiliser votre compost saison après saison. Même si vous déménagez dans 5 ans, même si vous cultivez sur un sol complètement différent : vous saurez comment recréer votre propre Terra Preta, chez vous, où que vous soyez ;
• un arbuste, planton ou un arbre à transplanter au jardin ? Vous connaîtrez exactement la juste dose de compost à lui apporter pour favoriser sa reprise et créer ainsi le cocon de verdure abondant dont vous rêvez.
• Plus besoin de courir à la jardinerie du coin pour acheter des terreaux pleins de tourbe, très souvent néfastes pour l’environnement, et vendus à prix d’or… Vous aurez toujours à portée de main une ressource bénéfique pour TOUT votre jardin, pour répondre immédiatement à tous vos besoins : si vos semis font la moue, si vos jardinières ont besoin d’un petit coup de boost, si vous voulez fertiliser votre nouvelle lasagne…
• Vous deviendrez le référent-compost de la famille et du voisinage, je le parie ! Vous pourrez conseiller et encourager vos proches à réduire leurs déchets ET à les revaloriser (même s’ils n’ont pas de jardin), ou leur apprendre comment utiliser leur compost pour bonifier et embellir leur lopin. Et vous, vous ne raterez plus JAMAIS votre compost.

Pour vous y aider, Romain et moi avons tout prévu :

Alors, ne vous en privez pas plus longtemps : rejoignez cette formation et devenez ENFIN un permaculteur accompli, qui prend soin de lui et de son sol, avec un compost réussi !

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